TEDDY SORRES & THE TROPICBIRDS

C'est au Centre des Musiques Didier Lockwood (CMDL) qu'emerge l'alchimie du projet Teddy Sorres and the Tropicbirds (voir vidéo ici ).

Teddy Sorres y rencontre en effet le batteur Pierre Philippe Joly, le saxophoniste Maxime Degéry, la pianiste Clélya Abraham et le guitariste Kévin Lazakis, et ainsi se finalise la formation. Ayant déja quelques compositions sous la main Teddy Sorres leur propose d’emblée un univers musical à mi chemin entre le Jazz et les couleurs rythmiques du traditionnel Maloya de chez lui. Les Tropicbirds vivent leur première scène entre les mûrs du Baiser Salé le 1er décembre 2018. La cohésion et la complicité entre les membres se renforcent, et motivés par cette première expérience, les scènes se font plus nombreuses par la suite, notamment Les disquaires, le 59 Rivoli à Paris.


Teddy Sorres and the Tropicbirds au Baiser Salé ici.




Jeune bassiste réunionnais diplômé du Centre des Musiques Didier Lockwood (C.M.D.L), Teddy Sorres commence la basse à l'âge de 8 ans en autodidacte. La carrière du musicien prit son envol sur son île natal grâce à la rencontre avec le talentueux pianiste Meddy Gerville.  A 16 ans, il intègre l'équipe du grand pianiste Eldar Djangirov lors du festival "la 7ème Nuit des Virtuoses". Il participe en 2016 au festival Total Jazz en première partie du saxophoniste Stéphano Di Batista. En 2017 il est invité à la "10 ème Nuit des Virtuoses"  aux côtés de Mathéo Techer, Noé Zagroun et Théo Hoarau. En 2018 il participe au festival Opus Pocus au sein de la formation de Mathéo Techer. Depuis 2018 Teddy Sorres s'est retrouvé sur différentes scènes parisiennes et participe aussi aux différentes jams sessions parisiennes notamment celles du Baiser Salé.

Teddy Sorres fait la somme de ses inspirations musicales pour nous montrer son interprétation du jazz-maloya. Parmi les groupes et artistes de cet univers fusionnel entre jazz et maloya qu’il affectionne, nous retrouvons Sabouk, le pianiste Meddy Gerville qui est sans doute l’élément qui le décide à emprunter ce style musical, le flûtiste Christophe Zoogonès, l’harmoniciste Olivier Ker Ourio. La conjugaison entre maloya et jazz établi par le jeune artiste reflète ce qu’il souhaite offrir au public : créer des liens, apporter un métissage culturel à travers ses compositions, et rapprocher les frontières par ces deux styles de musiques tant éloignés.